Le petit ventre – pas encore un gros ventre
Seule la partie basse de l’abdomen est légèrement bombée, en dessous du nombril. On ne peut pas encore vraiment parler de ventre, et le petit ventre est attachant et sans danger. Il n’est pas dû à un manque d’activité physique, mais plutôt à un quotidien chargé, à des exercices inadaptés ou trop peu variés ou encore à des snacks peu diététiques. Prenez le temps de faire des pauses et essayez de nouvelles sortes de fruits et de légumes en guise d’alternatives plus saines, idéalement en combinaison avec de bonnes graisses et protéines. Veillez à varier pendant votre entraînement musculaire. Les exercices de gainage ou de planche dans leurs différentes versions renforcent et stabilisent mieux la partie centrale que quelques sit-ups de temps à autre.
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La bouée – l’intention est bonne
Elle est censée nous protéger en vue de périodes difficiles. Elle stocke ainsi de la nourriture non nécessaire directement sous la peau. Elle forme un petit coussin en forme d’anneau en dessous, mais parfois aussi au-dessus de la taille, qui n’est pas considéré comme dangereux. Généralement, le porteur ou la porteuse de bouée exerce une activité sédentaire, fait peu d’exercice et apprécie les glucides et les sucreries. Pour réduire sa bouée, il est indiqué de pratiquer des sports d’endurance comme le jogging, la natation ou le vélo. Vous pouvez simplement commencer par faire des marches dynamiques ou prendre les escaliers plutôt que l’ascenseur.
Le gros ventre – un dangereux tambour
Tout le ventre est rebondi et peut atteindre des dimensions énormes. Ce volume est dû à la graisse viscérale qui entoure les organes et remplit l’abdomen. Le risque de diabète, de maladies cardio-vasculaires et d’infarctus augmente. Le gros ventre se forme à cause d’une alimentation trop riche en calories, de la surconsommation de boissons alcoolisées associées à un manque d’activité physique. Il n’est pas simple de se débarrasser des dépôts adipeux excédentaires. Il est recommandé de se faire accompagner par un médecin pour cela, et, dans l’idéal, de suivre un entraînement nutritionnel et physique en complément.
Le ventre de stress – un signal clair
Le mal de ventre, les problèmes intestinaux ou encore la nausée peuvent être le signe d’un ventre de stress. En cas de tensions, le corps sécrète du cortisol, qui donne des fringales et envies d’aliments riches en glucides tout en inhibant le métabolisme. L’énergie excédentaire est alors stockée sous forme de graisse viscérale, comme pour le gros ventre. Il peut être utile de faire régulièrement des pauses, de se détendre, de dormir suffisamment, de bien manger et de faire plus d’exercice physique au quotidien.
Le ventre gonflé – un douloureux ballon
Le matin, le ventre est plat, puis il gonfle à la manière d’un ballon au fil de la journée. Le soir, il est dur, douloureux et il sonne creux. Les bactéries intestinales digèrent des aliments riches en fibres et causent des ballonnements. Cela peut être dû à des intolérances alimentaires, au stress, ou à des maladies comme le syndrome de l’intestin irritable. Il est recommandé de faire des tests pour détecter des intolérances alimentaires. Si vous ne vous sentez pas bien, vous pouvez éviter de consommer certains aliments pendant un temps pour voir si et comment vous réagissez. En cas de ballonnements, prenez le temps de manger, mâchez bien et faites une petite promenade après le repas.
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